The End of the Asylum (Town): Community responses to the depopulation and closure of the Saskatchewan Hospital, Weyburn

Authors

  • Chris Dooley

DOI:

https://doi.org/10.1353/his.2011.0015

Abstract

Never is the fraught relationship between the state-run custodial mental hospital and its host community clearer than during the period of rapid deinstitutionalization, when communities, facing the closure of their mental health facilities, inserted themselves into debates about the proper configuration of the mental health care system. Using the case of Weyburn, Saskatchewan, site in the 1960s of one of Canada’s earliest and most radical experiments in rapid institutional depopulation, this article explores the government of Saskatchewan’s management of the conflict between the latent functions of the old-line mental hospital as a community institution, an employer, and a generator of economic activity with its manifest function as a site of care made obsolete by the shift to community models of care. Jamais la tension entre l’hôpital psychiatrique d’État et sa communauté d’accueil n’est-elle aussi patente que durant la période de désinstitutionnalisation rapide, lorsque les collectivités, devant la fermeture de leurs établissements de soins de santé mentale, s’invitèrent dans le débat sur la configuration à donner au système de soins de santé mentale. S’inspirant du cas de l’hôpital Weyburn, en Saskatchewan, théâtre dans les années 1960 d’une des expériences les plus draconiennes de dépopulation institutionnelle rapide, le présent article se penche sur la façon dont le gouvernement de la Saskatchewan a géré le conflit entre les fonctions latentes d’institution communautaire, d’employeur et de moteur d’activité économique de l’hôpital psychiatrique à l’ancienne, d’une part, et sa fonction manifeste de lieu de soins rendue obsolète par le passage à des modèles communautaires de prestation de soins, d’autre part.

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